4 March 2018 - Revue de presse

Journée des Malades : Michel Boujenah au chevet de patients lausannois_

Journée des Malades 2018 à la Clinique de La Source

Sous le slogan « Prendre le temps : pour toi, pour moi, pour nous », la Journée des malades 2018 a souhaité mettre le doigt sur des points sensibles touchant au temps de la guérison et susciter la discussion. Nos sincères remerciements à l’acteur et humoriste Michel Boujenah, qui a accepté de donner un peu de son temps et de venir à la rencontre des patients et collaborateurs de la Clinique de La Source.

 

 

Le fils de médecin au chevet des patients

L’humoriste français a passé une partie de l’après-midi de dimanche à la Clinique de La Source.

Les patients de l’établissement avaient été avertis de la venue de Michel Boujenah dans le cadre de la Journée des malades, mais la surprise se lisait tout de même sur leurs visages. Ce n’est pas tous les jours qu’une célébrité se déplace à la Clinique de La Source.

«C’est un honneur de vous voir», lui souffle une dame assise à une table du restaurant des patients. Visiblement ravie de partager un moment avec l’humoriste, elle le couvre de compliments, le comparant même à Brad Pitt! «Si tout le monde me dit ça, je vais m’installer ici», rigole le Français de 65 ans, fils de médecin. «Je ne mesure pas le plaisir que ces personnes peuvent avoir à me rencontrer », ajoute-t-il en toute humilité.

Tout autour, les gens prennent des photos, mais cela ne dérange pas le moins du monde l’acteur de «Trois hommes et un couffin», qui en profite pour prendre la pose avec la boîte de chocolats qu’il vient de recevoir et qui, il l’espère, restera pleine jusqu’à son retour à Paris. Les minutes passent, et il faut interrompre Michel Boujenah, qui ne semble plus vouloir arrêter de parler. Un autre patient l’attend dans sa chambre, et l’humoriste doit encore échanger quelques mots avec les infirmières.

L’occasion pour lui d’évoquer sa carrière dans le monde du spectacle et du cinéma. «J’avais tout calculé pour être médecin, comme mon père, mais j’ai commencé le théâtre à l’école, et ça a été dévastateur pour mes projets», confie-t-il. Avec les personnes hospitalisées, il fait un petit trait d’humour: «J’avais le choix entre médecin et malade. J’ai choisi malade!»


Parution : Le Matin / Texte : Julienn Farine / Photos : Darrin Vanselow