Naissance
Un lien pour la vie
Surprise, joie, excitation… Le début d’une grossesse rime toujours avec une avalanche d’émotions. Et puis très vite, la question du choix de la maternité pointe aussi à l’horizon. Où vais-je accoucher pour me sentir pleinement en confiance? Pour Océane, la réponse était déjà toute trouvée: ce sera la Clinique de La Source à Lausanne. Retour sur le parcours d’une jeune maman, accompagnée par sa médecin gynécologue.
Pourquoi avoir choisi la Clinique de La Source pour la naissance de votre enfant?
Tout d’abord pour la prise en charge, le suivi. Je souhaitais trouver un endroit où je puisse être suivie tout au long de ma grossesse, mais également pendant et après mon accouchement. La Clinique de La Source propose non seulement des cours de préparation à l’accouchement au sein de l’établissement, mais également un accompagnement pour les premiers soins et le libre choix du mode d’alimentation du bébé lors du séjour, ainsi qu’un suivi jusqu’à huit semaines après l’accouchement! Il y a aussi des séances d’ostéopathie, d’aromathérapie et d’acupuncture qui sont idéales pour prendre soin de soi et du bébé.
En quoi votre rencontre avec la Dre Clément-Wiig a-t-elle été déterminante?
La Dre Clément-Wiig m’avait été recommandée par mon ancienne gynécologue et j’ai tout de suite eu un très bon feeling. Enceinte durant la pandémie et très exposée de par mon métier d’hygiéniste dentaire, je craignais par exemple d’être arrêtée rapidement. Je suis quelqu’un de très actif et je souhaitais absolument continuer à travailler le plus longtemps possible. La Dre Clément-Wiig a réellement su prendre en compte mes besoins et écouter ma sensibilité, tout en me garantissant un suivi de qualité. D’autre part, elle a su également intégrer pleinement le futur papa dans le suivi de ma grossesse. C’était aussi un point très important pour moi.
Comment s’est déroulé le suivi de votre grossesse au sein de la Clinique de La Source?
Je peux dire qu’il a véritablement été exceptionnel! Ce que j’ai particulièrement apprécié, et d’autant plus en période de pandémie, c’est que les futurs papas étaient acceptés pour les échographies bien sûr, mais aussi pour tous les examens, entretiens et traitements. La Dre Clément-Wiig a toujours pris le temps de nous expliquer les choses et de les envisager avec nous. Au cours de ma grossesse, elle m’a annoncé une thrombopénie1 et un risque de pré-éclampsie2. Ce fut un moment difficile, car je pensais que cela allait compromettre mes chances d’accoucher à la Clinique de La Source. Là encore, la doctoresse a été d’une écoute extraordinaire et m’a assurée que nous allions tout mettre en oeuvre, avec les équipes d’infirmières et de sages-femmes, pour que je puisse accoucher à l’endroit que j’avais choisi et si possible par voie basse!
1 Pathologie plaquettaire, en l’occurrence un manque de plaquettes, car celles-ci se détruisent petit à petit.
2 La pré-éclampsie consiste en une élévation de la tension artérielle avec une présence de protéines dans les urines, signe d’une atteinte des reins.
Justement, quel souvenir gardez-vous de votre accouchement?
Très positif, bien que cela ait été long! J’avais une semaine de retard et mes plaquettes se détruisaient
de plus en plus, donc la décision a été prise de me provoquer, ce aussi pour éviter une césarienne d’office.
C’est Sophie, une jeune sage-femme, qui est venue me l’annoncer avec beaucoup de douceur. Puis
à minuit, c’était parti! J’ai senti que nous formions une véritable équipe, la Dre Clément-Wiig, les sagesfemmes,
mon mari, le petit et moi! Il y avait une telle cohésion, une telle écoute, le tout dans une atmosphère
très calme… Cela m’a permis de me sentir forte. Céline, la sage-femme acupunctrice, a pu aussi
me poser des aiguilles pour stimuler les poussées. Malgré quelques rebondissements, pour moi, j’ai
vécu un accouchement tout à fait normal!
Qu’en pensez-vous, Dre Clément-Wiig?
Je ne pourrais pas dire que ça a été un accouchement facile. Mais la relation de confiance que nous avons construite tout au long de la grossesse nous a permis d’aller jusqu’au bout de cet accouchement par voie basse d’une manière très positive. Je pense que ce lien a certainement aussi joué un rôle dans l’acceptation de certains gestes médicaux au moment de l’accouchement, qui peuvent être salvateurs mais mal vécus s’ils ne sont pas expliqués en amont. Je garde également un très bon souvenir de cet accouchement!
Dre Clément-Wiig, médecin spécialiste en gynécologie et obstétrique
Parution : Marie-Claire Suisse, édition de novembre 2021